L e Chef d’œuvre de Jean Cocteau
Une addiction chasse l’autre. Ces derniers temps, ça a été la marque de chocolat Lovechock, la tablette au sel (uniquement), maintenant c’est Colby Keller, un acteur « pour adulte » gay qui me fascine, j’en suis le premier étonné. Il a posé pour Vivienne Westwood et Jurgen Teller et le numéro sur le sexe des « Inrocks » en parle… On a hâte de passer à autre chose — qu’est-ce que ça pourrait être ? Une femme, évidemment, ce serait mieux… même avec les conséquences que l’on sait… Parfois, je le pense, parfois, je suis content d’être sur la touche quant à cette question. Ça laisse de l’espace blanc. Evidemment, il y a une illusion… Mais pourquoi toujours ramener au niveau individuel ? D’autres baisent, d’autres ont des enfants… Je suis content de retrouver les enfants de mon frère
Il est très sexuel, très animal, très puissant, il ressemble à un hypster, il est roux (je crois). Au début d’une vidéo, il demande à son partenaire ce qu’il a envie qu’il lui fasse et le petit lapin répond qu’en fait, il a envie qu’il lui fasse ce qu’il veut, c’est ça qui l’excite. Colby Keller répond, amusé, « It’s dangerous… »
C’est ça, ce sont deux invertis, mais c’est comme deux espèces. L’amour entre un lapin et un ours. Le lapin dit à l’ours (parce qu’ils parlent quand même la même langue) : « Fais de moi ce que tu veux » ; « It’s dangerous », répond l’ours, attendri. Et, après, il est très gentil, il lui fait vraiment ce qu’il veut, le pauvre lapin : ben, il avait qu’à pas le demander aussi
La Belle et la bête, il faudrait que je vois La Belle et la bête dont m’a parlé D., c’est l'un de ses films préférés…
« Sauvage est celui qui se sauve »
Et encore : « Ma compagnie, c’est le vide, associé du vent qui l’agite et le remplit »
Je ne devrais pas parler de chocolat comme ça, j’en ai de nouveau envie…
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