P réparation d'une soirée marseillaise (d'anniversaire)

Resalut Josette, 

si tu peux m’appeler pour m’aider à situer le contexte de la soirée que nous préparons. Je peux faire ce que j’ai fait hier (en essayant de le faire du mieux possible), mais je peux faire aussi autre chose — peut-être de plus léger… Partir de la première phrase et développer en deux-trois minutes ; un truc plus enlevé… Evidemment, dans une soirée de pièces courtes, comme chacun a travaillé dans son coin, c’est difficile de sentir (enfin, de penser) l’unité qui de toute façon se fera, mais peut-être pas dans le sens le plus bénéfique… Hier, la générale était assez peu festive (à part le document « un peu Jean-Christophe Averty » qu’a trouvé Haim Menahem), faisait même un peu enterrement ou « bord de la mort » (bon, c’est déjà le lieu qui fait ça), mais j’imagine pourtant que ce n’est pas tout à fait cette idée, un anniversaire... Ça me donnait l’impression que chacun en rajoutait une couche — et je n’étais pas le dernier ! Ou alors, oui, en rajouter dans ce sens, le côté Le Temps retrouvé… mais l’assumer. Avec ironie, je ne sais pas… On est vieux, mais on est plein d’amour, je ne sais pas...

Voili-voilà, je cherche à capter l’esprit, aide-moi, 

Yvno

Je suis d'accord avec toi, c'est ce qui m'a frappé : le vieillissement... pire l'excuse du vieillissement.

Mais, ne change rien, j'aime beaucoup ce texte et ta présence le disant et très bonne idée de le jouer à mort.

Je fais vite, on répète, donc je t'appelle plus tard.

Baisers,