T he Death
Je rêve d’un spectacle où le texte soit immense, mais de très peu de mots. Après tout, des livres immenses et de très peu de mots existent — comme C’est tout, de Marguerite Duras ou The Death of the Moth, de Virginia Woolf. Ce spectacle donnerait l’essence des choses, quelques vers. Quelques vers sauveurs, un poème, suffiraient parmi l’océan des merveilles de son et lumière comme une chanson...
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