D ’abri que l’Océan
« La fatalité qui s’attachait à ses pas le repoussait des deux hémisphères ; il ne pouvait aborder à un rivage qu’il n’y soulevât des tempêtes : sans patrie entre deux patries, à cette âme isolée, immense, orageuse, il ne restait d’abri que l’Océan. »
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