Jocelyn m’envoie les 117 premières pages du projet d’édition de ce blog. Un pensum (à relire, à corriger), mais parfois un poème parfait, comme celui ci :
Le sucrier de la mort
Le sucrier de la mort.
A river never sleeps. Chantilly, capelines... Le cygne,
un long moment ! le héron. Giacometti. Ah bon ? La Fontaine. Ma commère la Carpe. Les plus accommodants, ce sont les plus habiles. Gardez-vous de... de rien... Comment peut-on être plus enfant ? Âme, cesse d’être deux ! Des jouets en or. Pluie battante et cœurs serrés.
Yves-Noël Genod. 13 juin 2007.
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