Tout s’est éparpillé dans le monde et pourtant tout a lieu, en des fragments cruels et pourtant très vivants. Nous faisons, à Versailles, vivre les derniers jours d’été et ils sont sublimes. Je suis dans une grotte et je dis du Phèdre, un petit peu, cette tendresse si vaste, et il y a un peuple fou de faunes, de satyreaux et de dieux de la forêt et tout, tout traverse la grotte sacrée du cœur énamouré...
Labels: phèdre
0 Comments:
Post a Comment
<< Home