« Viens, reconnais la voix qui frappe ton oreille »
Mes amis, je n’y arrive plus. Je suis si heureux à Lausanne, je trouve ça sinistre, Facebook. En France, dans la pollution, avachi, ça m’apparaît peut-être un peu moins, mais, ici, dans le luxe, les baignades au lac, le travail dans le théâtre parfait, disponible (l'Arsenic), les légumes du marché, etc., je n’y crois plus. Je me force un peu pour vous le dire (mais je l’annonce depuis longtemps sur mon blog), que je joue bientôt à l’Arsenic (à Lausanne donc) du Baudelaire et du Racine, une longue soirée de plus de quatre heures, reprise du RESTER VIVANT (le spectacle créé dans le noir absolu au théâtre du Rond-Point à Paris et qui sera repris aussi à Rennes les 22 et 23 novembre) et création d’un je-ne-sais-quoi-encore à partir de PHEDRE de Racine. Ça a lieu à l’Arsenic du 1er au 4 novembre avec des avant-premières les 29, 30 et 31 octobre. Les deux spectacles sont présentés en alternance soit à 19h, soit à 21h30. Un entracte les sépare. Planning des avant-premières : le 29 : Racine à 19h, Baudelaire à 21h30 ; le 30 : Baudelaire à 19h, Racine à 21h30 ; le 31 : Racine à 19h, Baudelaire à 21h30. (Illustration : une œuvre de Pascal-Désir Maisonneuve présentée au musée d’art brut de Lausanne.) Love
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