« Celle qui vous parle tue, vole, pervertit. Sans juges, l’art n’existerait pas. Sans moralisme, l’art n’existerait pas. Sans hypocrisie, l’art n’existerait pas. Bref, sans vous, l’art n'existerait pas. Je vous remercie donc de me mépriser. Seul celui qui aime s’expose à l’insulte. Supportez-moi et je vous parlerai parce que je vous aime. Au fond, cette œuvre est celle d’une recluse. Nous, les damnés, sommes les seuls à choisir la bonté sans détour. Si je veux être sauvée, je dois ériger mon propre bucher. »
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