Salut Isabelle, il y a déjà mille ans qu’on ne s’est vu, tout passe si vite à Paris, depuis le très, très beau spectacle de Latifa et d’Antonia qui, lui, ne passe pas, mais reste extrêmement secret et énigmatique, à côté de l’époque, merveilleux comme une grotte de vitalité, inachevé de perfection (bon). Si ça t’amuse de jeter un œil sur le texte de ce stand-up intitulé Yves-Noël Genod dira au moins une phrase de Merce Cunningham (et peut-être un peu plus), voici le lien de la dernière version (ça changeait évidemment tous les jours et ça changerait si je le reprenais). Mais je crois que tu imagines très bien au moins l’ambiance (sans avoir même à jeter cet œil), tu étais là à mon premier spectacle En attendant Genod, il y a 16 ans (en juin 2003), à Nantes.
Je t’embrasse,
Yves-Noël
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Labels: correspondance cunningham
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