L aisse tomber Duras
Laisse tomber Duras, t'en as pas besoin, t'es un vrai mec, toi (et, moi, une femmelette) (d'ailleurs, me dire que Deladonchamps m'a adoré me fait mouiller — tu sais que tu sais me parler, toi !) (j'en suis à collectionner ses photos) (vite, saute-moi avant les autres, sinon je vois gros comme une maison que je vais encore passer à l'as) (rime avec Duras)
Je te fais faux bond pour l'affreux club de David Lynch. Mais demain !!! Ça commence à 18h ? L'adresse, c'est demain ? Nord de Paris, ça me motive aussi (c'est là que je vis). Je sors de la chose la plus belle à Paris : l'expo Greco. J'y retourne quand tu veux avec toi : ça ou/et te manger, c'est équivalent !
Tu sors dans une boîte où y a pas de place encore ce week-end ? T'es joli, en ce moment ? Tu veux pas qu'on fasse des photos ? J'ai appris plein de mots russes intraduisibles comme : pochlost, nadryv, avos, khamstvo — ne me fais pas khamstvo...
Labels: correspondance
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