S cène où c'est moi qui t'encule
Ah, oui, ça doit être bien, ce livre ! C'est drôle que tu me fasses signe, je voulais justement te dire que sans doute je ne te tannerai plus pour que tu m'encules (n'est-ce pas ?) parce que j'ai rêvé de cette scène la nuit dernière — disons plutôt ce matin — tandis que les ouvriers par la lucarne du toit garantissaient — pourquoi ce verbe ? — leur gracieux babil ensoleillé (de Babel) (ils en sont au deuxième étage dans la construction de l'immeuble voisin, bientôt on ne les apercevra plus, on les entendra peut-être encore...) — et les sensations que cette scène (ce film) m'a procurées sont maintenant encore si précises et détaillées — de tous les sens — que je ne vois pas la différence qu'il y aurait avec une scène qui nous serait vraiment arrivée. Il n'y en a pas. Donc, ça, c'est fait. Très sympathique, vraiment, extrêmement agréable, tu étais à ton meilleur... Peut-être que je te tannerai encore pour la scène où c'est moi qui t'encule parce que je ne l'imagine pas encore très bien, celle-ci... 😘
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