M atinée d'automne
« On a l'habitude de dire que « Ne manquez pas votre unique matinée de printemps » est une phrase que Jankélévitch prononçait très souvent pendant ses cours du mardi matin à la Sorbonne, et on la retrouve aussi à la fin du premier volume du Je-ne-sais-quoi et le presque-rien, un peu comme une plaisanterie qui s'adresse à un lecteur qui vient de lire plus d'une centaine de pages assez difficiles, il indique à son lecteur ou à ses étudiants que finalement, le temps passé à le lire ou à l'écouter a peut être été du temps perdu... »
Labels: cita
0 Comments:
Post a Comment
<< Home