Monday, September 27, 2021

M atinée d'automne


«  On a l'habitude de dire que « Ne manquez pas votre unique matinée de printemps » est une phrase que Jankélévitch prononçait très souvent pendant ses cours du mardi matin à la Sorbonne, et on la retrouve aussi à la fin du premier volume du Je-ne-sais-quoi et le presque-rien, un peu comme une plaisanterie qui s'adresse à un lecteur qui vient de lire plus d'une centaine de pages assez difficiles, il indique à son lecteur ou à ses étudiants que finalement, le temps passé à le lire ou à l'écouter a peut être été du temps perdu... »

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