Bonjour !
Je ne lis votre mail qu’aujourd’hui en Sicile, mais je n’étais déjà plus à Paris le 7. Merci en tout cas de me l’avoir envoyé. It sounds good ! J’aime particulièrement la phrase : « À mesure du déroulement de cette chevauchée conquérante, deviendront toujours plus poreuses les frontières entre puissance et faiblesse ; soin et destruction ; santé et maladie ; ruines et prospérité, avec l’occasion peut-être de toucher à quelque chose que la modernité capitaliste met sous silence : la mort est la nourriture de la vie ; nous vivons depuis les ruines. » Je suis moi-même dans le chantier d’une ruine qu’un ami maçon rebâtit sur les flancs de l’Etna et, oui, puissance et faiblesse sont d’une frontière poreuse !
Bel été !
Yves-Noël Genod
Labels: correspondance sicile
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