La nuit est calme, les ruelles sont silencieuses,
C'est dans cette maison qu'habitait ma chérie ;
Elle a quitté la ville depuis longtemps,
Mais la maison est toujours là, sur la même place.
Il y a là un homme qui regarde en l'air,
Et se tord les mains de douleur ;
J'ai peur, quand je vois son visage.
La lune me montre ma propre forme.
Sosie, pâle compagnon !
Pourquoi imites-tu mon chagrin d'amour ?
Qui me tourmente en ce lieu,
Tant de nuits, dans les temps anciens ?
(Si on le met, je dirai le poème…)
Labels: pop paris
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