Sunday, January 20, 2008

Delphine

Delphine










« Should we clean this place up ? »

Le décor de la scientologie, des vasques de feu, des torches en stuc… Difficulté avec la justice et vie en haute mer.
C’était un film de famille, quoi.
Je ne savais pas que vous existiez.
Je ne savais pas.
Elle est là, son reflet de la beauté, sa beauté sabotée.
C’est drôle, la mort, la beauté, les passages… Les plantes. L’année où Delphine est morte.
Esprit, charme… La maladie n’a jamais, pas un instant, été invitée à notre table… Le cheval triste et vivant… Des ombres et des éclairages légers… Le feu brûle la cigarette et, la flamme, la pellicule.
Parce qu’au théâtre, il faut tuer, il faut mourir… Son enfance… Le bras à demi étendu. Je ne crois pas qu’il s’agisse de moi. Aveuglement, concentration… Oh, quel beau petit chat vous avez, vraiment beau petit chat… Comment s’appelle-t-il ? Viens ici. Comment l’appelez-vous ? Minou, Minou, Minou, Minou…

Et, sous le nom d’un personnage…
Une manière de ne pas s’inquiéter des choses rationnelles.

Retenir la pièce à une certaine distance du rire continu.
Le regard d’une femme sur un homme.










He’s not really gone.










Puisque cela te ferait plaisir…
Éternellement masqué.










Une homme et une femme au paradis.
Le peuple et le raffinement souhaitable. (Souhait de table.)

Je veux voir comme un voyage…
Janvier du cœur – et février. Action de grâce.










Yves-Noël Genod, 20 janvier 2008.

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