J’aime Hélèna Villovitch
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Noir et blanc, surexposition de la salle de réception (c’est une assemblée de croque-morts). L’homme a l’air dix-neuvième, très noble. Des plantes vertes, des plantes blanches. La lumière comme une sainteté. Notre existence est inutile. La mort, en ce qu’elle serait ou ne serait pas naturelle. Branches de cerisiers. Et la posture de Jésus, la profondeur.
Très noble, très grand… et le p’tit flic. Ses lunettes, son tombeau. Il a le temps de ne pas montrer ses intentions.
Yves-Noël Genod, 6 janvier 2008.
Noir et blanc, surexposition de la salle de réception (c’est une assemblée de croque-morts). L’homme a l’air dix-neuvième, très noble. Des plantes vertes, des plantes blanches. La lumière comme une sainteté. Notre existence est inutile. La mort, en ce qu’elle serait ou ne serait pas naturelle. Branches de cerisiers. Et la posture de Jésus, la profondeur.
Très noble, très grand… et le p’tit flic. Ses lunettes, son tombeau. Il a le temps de ne pas montrer ses intentions.
Yves-Noël Genod, 6 janvier 2008.
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