Monday, January 28, 2008

Un geste très ralenti. Il paraît qu’on écrit toujours à sa mère. La phrase : « Il paraît qu’on écrit toujours à sa mère. » Si seulement. If only ! Ma mère anglaise. Moi, j’aurais appelé ce livre : Les antichambres de la mort. – Et il s’appelle comment ? – Jardins de rêve. Dream Gardens.
La vie des autres.
Mon mère lent.
Un monde petit. …payer deux cent cinquante six euros pendant six ans.
Obligations de la vie. Des notes au piano le disent : « Obligations de la vie. »

Des touristes dans la vie. La longue vie, la libre vie. Avec une voiture, avec une femme, sur la route qui domine la mer. La piste. Tous les week-ends puis toutes les nuits durant l’été… Puissance des yeux de velours. Le cul, les yeux de la serveuse, tout en un.










Yves-Noël Genod, 28 janvier 2008.

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