Tuesday, August 12, 2008

Les lacs, c’est tout, les lacs que je n’ai pas vus… Les lacs les tourbières. « Je n’ai pas vus » puisque je les ai vus. Le message de la gare du Nord me parvient par un vent adéquat. C’est très rare. Assez rare.
Chamonix devant la gare, en face de la gare, sous la pluie, le dernier jour, les dernières heures – pour effacer – de la féerie.
Et aussi les remontées mécaniques, tout le système expliqué qu’on ne voit pas et on imagine la neige, les mètres cubes de neige à l’endroit des avalanches, on imagine, on nous le dit, la différence d’aspect entre l’hiver et l’été, le lièvre variable.
« Ils n’y auraient aucune place »… La question de la place est posée en montagne. Pour moi, il y a de la place, il y a de la place pour moi en montagne. Mais il faut se promener sur les sentier, longer les rivières, aller sur les rivières et dans les rivières. (…)






De la pluie coule d’un dessin d’un puit.

You have this gift, you have this incredible talent, you use it flushing down the toilet !

God hates us all, that’s the title.

Hell-A magazine.

La dur’té libre de la vie.






YNG, Paris, 12aoû8.

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