Sunday, September 07, 2008

I need a man (Épisode 11)

I need a man






« I need a man who have powerful friends. » Les performances d’acteurs sont filmées. « And what do you want for Christmas ? – Me ? oh… just you. » « Understood. » Pris par le drame. Le sang dans les verres. Les menaces de Noël. Dans les hôpitaux moisis américains. C’est la nuit – l’œil. Les pas. Only one man. Avec un papier et des fleurs. The baker – Une forteresse de neige. Film noir bleu. Le sérieux du film. Accouplement. J’avais, quand j’étais grand, des crises d’hystérie. Le vin chante comme les oiseaux. (C’est la même source.) Jouer. Tuer fait partie du religieux, sinon pourquoi en parler ? Heaven and earth. Mensonge par degré de compréhension. Je peux regarder le monde comme : tout c’que j’ai. (C’est assez près du nez.) Les chiens dorment dans le recueil. La mer brame. Tout près, les toits des pyramides. Les échelles, les écuelles. Les mots qui viennent remplacent et remplacent les filles. Tout est organisé facilement pour aider. You’re not from here ? It’s yellow-red in much of the lighting. The blacks were milky. Les noirs étaient laiteux. Plusieurs de mes correspondants me demandent de préciser la couleur de mes p’tits shorts : bleu et rose, pastel. La nuit ouverte. He had a capacity to deal with life. The old caffe Trieste.
Je te parle au téléphone, la nuit, dans l’hôtel
Miss Praline and Mister Cream

Mist of blood (in the air)
The rolling fruits
La ville est trop grande – l’hôtel me convient. Et le cœur de l’hôtel – cette chambre sans fenêtre (fenêtre sur le couloir de l’hôtel) avec le carillon du couloir de l’hôtel. Et les bruits du cœur de l’hôtel, du cœur du fruit de l’hôtel. La voiture mal garée, près de l’hôtel.






Little by little, we went insane
A metaphor for a journey into self

Dimanche matin.






Samedi 6 septembre 2008.

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