(« Purée » à la place de « durée », « os » à la place d’ « or »)
Il n’y a plus d’avant ni d’après
Le sexuel, le vide et le langage…
Je ne veux rien perdre, c’est le problème, je ne vise pas devant… à cause de ce poids…
(mais dont je sens pouvoir me délivrer. L’heure approche. Dès qu’on emploie les mots : « notion de plaisir », « jouissance », on est dans la blancheur (annoncée).)
Les lycéens, assez « grands »…
J’étais encore avec elle
« Il faut être confiant et il faut être dynamique ! », dit Édouard Balladur
Moi, vieillarde
« Tant qu’à faire, si on n’a pas le temps, il vaut mieux être plus rapide que le temps. » est une phrase que je dis comme ça, mais que relève Kataline
Dieux en allés…
Ce n’est pas pour se cultiver…
Une singularité, une expérience, une implication politique…
Le danger-dieu
Un carnet de notes avec les mots sur le papier…
« Laisse être le vide. Le réveil dont nous parlons, c’est ici qu’il a lieu. »
Le si grand temps, le si grand corps grand comme l’espace, un cadavre allongé (qui) respire et dort et respire à nouveau
J’ai cru qu’ils vivaient dans une caserne, non, non, dans une caverne
À partir d’une étreinte
L’opulence érotique
Les beaux organes
La belle pisse
Le fatigué courtois
Aujourd’hui, la pub sur le site de Pierre : « mode, séduction et plaisir », eh ouais !
La maladie sainte
Tu fais toujours la gueule, David ? Moi, je me passionne toujours autant pour tes livres ! Je viens de voir qu'il y en avait un nouveau, Bambipark, je me réjouis. Je suis tombé amoureux d'une autre écriture que la tienne : http://guarantyofsanity.hautetfort.com/ mais, cette fois, qui m'a fait quitter ma femme... C'est arrivé comme ça : on s'est d'abord connu par son blog, avec Pierre, sans se connaître, puis quand Hélèna en a eu marre, je l'ai quittée, et j'ai dîné avec Pierre, maintenant on se fréquente, tout cela est bien improbable, mais c'est ! Je t'embrasse, j'espère que tu vas bien. À part les livres, tu me manques
Yvno
« Dans la mesure où les mauvais romans prennent toutes les formes possibles et inimaginables, il est normal que la littérature y réponde de toutes les formes possibles et inimaginables. », dit David di Nota.
Le sexuel, le vide et le langage…
Je ne veux rien perdre, c’est le problème, je ne vise pas devant… à cause de ce poids…
(mais dont je sens pouvoir me délivrer. L’heure approche. Dès qu’on emploie les mots : « notion de plaisir », « jouissance », on est dans la blancheur (annoncée).)
Les lycéens, assez « grands »…
J’étais encore avec elle
« Il faut être confiant et il faut être dynamique ! », dit Édouard Balladur
Moi, vieillarde
« Tant qu’à faire, si on n’a pas le temps, il vaut mieux être plus rapide que le temps. » est une phrase que je dis comme ça, mais que relève Kataline
Dieux en allés…
Ce n’est pas pour se cultiver…
Une singularité, une expérience, une implication politique…
Le danger-dieu
Un carnet de notes avec les mots sur le papier…
« Laisse être le vide. Le réveil dont nous parlons, c’est ici qu’il a lieu. »
Le si grand temps, le si grand corps grand comme l’espace, un cadavre allongé (qui) respire et dort et respire à nouveau
J’ai cru qu’ils vivaient dans une caserne, non, non, dans une caverne
À partir d’une étreinte
L’opulence érotique
Les beaux organes
La belle pisse
Le fatigué courtois
Aujourd’hui, la pub sur le site de Pierre : « mode, séduction et plaisir », eh ouais !
La maladie sainte
Tu fais toujours la gueule, David ? Moi, je me passionne toujours autant pour tes livres ! Je viens de voir qu'il y en avait un nouveau, Bambipark, je me réjouis. Je suis tombé amoureux d'une autre écriture que la tienne : http://guarantyofsanity.hautetfort.com/ mais, cette fois, qui m'a fait quitter ma femme... C'est arrivé comme ça : on s'est d'abord connu par son blog, avec Pierre, sans se connaître, puis quand Hélèna en a eu marre, je l'ai quittée, et j'ai dîné avec Pierre, maintenant on se fréquente, tout cela est bien improbable, mais c'est ! Je t'embrasse, j'espère que tu vas bien. À part les livres, tu me manques
Yvno
« Dans la mesure où les mauvais romans prennent toutes les formes possibles et inimaginables, il est normal que la littérature y réponde de toutes les formes possibles et inimaginables. », dit David di Nota.
Labels: poésie pierre
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