Sunday, June 28, 2009

bien plus tard et sans doute pas

dessiner le monde, commençons par une île... il n'y a rien qui ne soit libre d'interprétations, libre d'écriture dégagé par l'hiver, le sang, le poisson bleu ou le poisson d'or de Shakespeare ou de Kate ou les fleurs qui sont des showers (les flowers, les showers), the leopard, the lion and the wolf, les animaux précieux, précisés, dégustés, déguisés avec les arbres et les îles et les criques et l'animal de juillet, le petit animal des enfants, golfes, navires, îles, poissons, maisons, instruments, astres, chevaux... changer notre vie en paroles, les oripeaux, les lents vaisseaux (ou lourds vaisseaux), il n'y a même pas besoin de regarder d'où viennent les mots, ils viennent, chauds comme des couvertures glacées, on perd toujours l'essentiel, c'est une loi, dit Borges, de toute parole sur le Divin, noires fleurs, oiseau secret... le motif de la fleur de magnolia, un long poème qui commence et ne sera lu que - tant pis -

bien plus tard et sans doute pas

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