Saturday, November 21, 2009

l'époque maint'nant

des scènes d'amour se greffent (dans mon esprit malade) sur d'autres scènes, je confonds la pièce, ou la scène...
dois-je fermer, ouvrir les yeux - où est ma virilité dans l'histoire ?

mais l'un des traits du meurtre - du neutre...



la joie, la liberté, quelque chose lâche, féminin-masculin, cousines aux cheveux courts,
India Song...

- autant de secrets en laissant autant de place aux mensonges -

on lira des carnets décrivant "une vie"
l'un des pied est froid, je n'ai trouvé qu'une chaussette
mais j'écrivais ceci :
la joie, la liberté, quelque chose lâche, féminin-masculin, cousines aux cheveux courts...



"Les mots refroidissent de saison en saison…", dit-il
- dit le film qui les filme
"Que de difficulté, d’idées encore confuses sur le cinéma, la façon de vivre, d’aimer. Comment en suis-je sorti ? Comment j’ai fait ?"
ce démenti de chef-d'œuvre
un rêve est à l'origine de l'écriture du roman



l'époque, maint'nant
de loin, on dirait des vraies personnes qui parlent dans la vraie vie
- il n'y a rien à couper -

je reconnais la langue, je reconnais, c'est aussi bête que ça...

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