Arnaud
Arnaud Bourgoin Tout le monde est nu, ici, nous jouons à des jeux d'eau sous un soleil radieux. Des entrecôtes roussissent sur le barbecue. Dommage que tu ne sois pas là. Tu nous reviens quand ?
Yves-Noël Genod Demain. J'ai pensé à toi à l'heure de ta nudité (prochainement sur mon blog). Je t'aime. (Dis à Sébastien qui va chercher Rebecca tout à l'heure à 5 h à Retournac qu'elle est rousse (comme les côtelettes). Bises
Arnaud Bourgoin J'ai reçu l'amour - que je redonne en mille - et la jolie Galloise - elle, je la garde.
Tout est bien. Je t'embrasse.
J'avais envie de révéler au monde (de mon blog) à quel point Arnaud est magique. Je t'adore absolument. J'en crois pas mes sens d'avoir un assistant pareil. Il est très intelligent. Il est promis à un énorme avenir (si l'avenir se compte en quantité). Je dis ça parce qu'il n'a que vingt-quatre ans (mais il paraît plus). Il est d'une maturité qui, sur bien des points, me dépasse. Il a vécu avec une fille entre douze et dix-neuf ans. A quatorze ans, ils prenaient un appartement ensemble (avec l'approbation des parents, son père l'engageait dans son entreprise pour qu'il puisse payer le loyer). Maintenant, c'est les garçons à fond. Ils aiment tellement les garçons, ça fait plaisir à voir ! Ils aiment les garçons comme on les aime à mon âge, mais, comme il est jeune, il peut tous les avoir. Il a aussi une très, très grosse queue, ça aide* (je m'excuse, j'écris en ayant entamé - à jeun - un verre de Macon, à la brasserie L'Européen). Je l'ai vu opérer dans une fête à Bruxelles. C'est un chat, un prédateur. Et qu'est-ce qu'un chat en trouve, des souris prêtes à se faire déchiqueter ! Il n'a que l'embarras du choix. Il est blasé. Il choisit, il méprise. Quand il me fait un bisou sur la bouche après une journée de travail, je peux m'estimer comblé. C'est - d'abord - qu'il a un peu bu et c'est aussi qu'une pensée heureuse l'a traversé. Je n'y suis pour rien. Le reste du temps (à part le dépôt de ses lèvres), il n'est que mépris, mais quel bonheur... Je ressens mon bonheur de l'avoir à mes côtés. C'est un très bon ami de Julie Depardieu, en plus. (Il connaît toutes les stars.) Il m'a dit, quant au blog, qu'il adorait me lire. "Tu t'écoutes tellement, c'est un bonheur de te lire ! - Mais, si je m'écoute, c'est pas bien... - Ah, pour d'autres, c'est pas bien, mais, pour toi, si, c'est très bien !" Les stagiaires adorent travailler avec lui. Je les retrouve métamorphosés. Quand je n'ai pas d'idée (ou quand je le dis), il dit : "Ah, des idées, moi, j'en ai plein !" L'assistant parfait. Love.
* Robin dit d'Arnaud qu'il est doté d'une "bite chercheuse".
Yves-Noël Genod Demain. J'ai pensé à toi à l'heure de ta nudité (prochainement sur mon blog). Je t'aime. (Dis à Sébastien qui va chercher Rebecca tout à l'heure à 5 h à Retournac qu'elle est rousse (comme les côtelettes). Bises
Arnaud Bourgoin J'ai reçu l'amour - que je redonne en mille - et la jolie Galloise - elle, je la garde.
Tout est bien. Je t'embrasse.
J'avais envie de révéler au monde (de mon blog) à quel point Arnaud est magique. Je t'adore absolument. J'en crois pas mes sens d'avoir un assistant pareil. Il est très intelligent. Il est promis à un énorme avenir (si l'avenir se compte en quantité). Je dis ça parce qu'il n'a que vingt-quatre ans (mais il paraît plus). Il est d'une maturité qui, sur bien des points, me dépasse. Il a vécu avec une fille entre douze et dix-neuf ans. A quatorze ans, ils prenaient un appartement ensemble (avec l'approbation des parents, son père l'engageait dans son entreprise pour qu'il puisse payer le loyer). Maintenant, c'est les garçons à fond. Ils aiment tellement les garçons, ça fait plaisir à voir ! Ils aiment les garçons comme on les aime à mon âge, mais, comme il est jeune, il peut tous les avoir. Il a aussi une très, très grosse queue, ça aide* (je m'excuse, j'écris en ayant entamé - à jeun - un verre de Macon, à la brasserie L'Européen). Je l'ai vu opérer dans une fête à Bruxelles. C'est un chat, un prédateur. Et qu'est-ce qu'un chat en trouve, des souris prêtes à se faire déchiqueter ! Il n'a que l'embarras du choix. Il est blasé. Il choisit, il méprise. Quand il me fait un bisou sur la bouche après une journée de travail, je peux m'estimer comblé. C'est - d'abord - qu'il a un peu bu et c'est aussi qu'une pensée heureuse l'a traversé. Je n'y suis pour rien. Le reste du temps (à part le dépôt de ses lèvres), il n'est que mépris, mais quel bonheur... Je ressens mon bonheur de l'avoir à mes côtés. C'est un très bon ami de Julie Depardieu, en plus. (Il connaît toutes les stars.) Il m'a dit, quant au blog, qu'il adorait me lire. "Tu t'écoutes tellement, c'est un bonheur de te lire ! - Mais, si je m'écoute, c'est pas bien... - Ah, pour d'autres, c'est pas bien, mais, pour toi, si, c'est très bien !" Les stagiaires adorent travailler avec lui. Je les retrouve métamorphosés. Quand je n'ai pas d'idée (ou quand je le dis), il dit : "Ah, des idées, moi, j'en ai plein !" L'assistant parfait. Love.
* Robin dit d'Arnaud qu'il est doté d'une "bite chercheuse".
Labels: stage correspondance
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