Saturday, August 07, 2010

La Promenade vers la tour

Lentisque. On me parle des odeurs. Cette odeur âcre associée à un vert très foncé associé au noir (ou au brun), une voix de gorge, une voix de femme éraillée.
On fait le détour jusqu'à "la bergerie". "Y a d'quoi passer la nuit." Mais un roman au titre affreux : La Mort dans la peau. De l'anti-moustique.
Le reste séché des asphodèles. (Qu'on appelle, en corse, "petites lumières".) Et les immortelles séchées (amoroza, en corse) qui sentent le Zan, le réglisse (et avec la fin un peu agrume, un peu orange).
Avec un peu d'empathie pour l'angine de Pierre (j'avais envie d'en parler), mais démentie, comme il dirait, par les faits : ciel bleu, mer violette, route rouge, nuages blancs, bruit fort et léger (mat), vent mélangeant.
(S., à qui j'en parle finalement, me souffle le mot d'asynchronie.)


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