La Constante ouverture vers d’autres possibilités
« Si vous n’avez pas assez de temps pour accomplir quelque chose, considérez la chose comme terminée en la commençant. » Quel génie, ce John Cage ! Des phrases comme ça, c’est toutes les trois lignes (de ses Conversations) – et moi, je m’aperçois (avec fierté) que j’ai fait, comme monsieur Jourdain, du John Cage sans le savoir. Ici, c’est textuel. J’ai toujours dit aux acteurs : le premier geste est le bon, le premier pas sur le plateau, c’est celui du spectacle parce qu’on n’aura pas le temps d’en chercher un autre. Ainsi le spectacle est fait en quasi temps réel et le temps qu’il reste est pour le plaisir de le jouer. J’ajoute au peu de « temps de travail » des avant-premières pour avancer l’expérience de jouer, la seule réelle, en fait (puisque avec le public).
La musique naît, la musique monte du salon d’en dessous dans la grande maison vide et traversée par le silence – de la campagne dévastée, inaltérée, dévastée, française –
La musique faite, la musique qui diffuse, la musique qui n’appartient à personne…
Et les technologies modernes, malléables – il faut juste protéger la terre… Une ampoule électrique, c’est beaucoup trop. A la bougie ? Même pas ! Sangliers, biches, salamandres. Vipères, aspics, buses. Lions, faucons, plumes. Plaines, plantes, wagons-lits. Forêts, perles.
« Le Yi King était tombé en disgrâce pendant plusieurs centaines d’années et il a reparu. »
Victor Lenoble, physique peut-être entre Nick Cave et Nicolas Cage, sensible à John Cage, petit, fluet, membré comme un nain, léger bégaiement sur les a, rêveur, puissant, penseur, souple, malin, libre, curieux, métaphysique, tête et sexe, les filles, angoisse et disponibilité quant aux filles, musique variée, gothique campagne, Angleterre, Bourgogne, mais de passage...
Jean-Jacques Goldman
Siouxsie and the Banshees
Suicide
Philippe Quesne
Scott Walker
Jean-Louis Costes
Signa Sorensen
« L’amour, c’est le cul »
Déesse rime avec sexe
Sophie et Sophie et So
« Une bite dans un cul est une flèche dans un cœur et il n’y a pas de plus grand bonheur. »
Trou théorique
La queue magique
La musique naît, la musique monte du salon d’en dessous dans la grande maison vide et traversée par le silence – de la campagne dévastée, inaltérée, dévastée, française –
La musique faite, la musique qui diffuse, la musique qui n’appartient à personne…
Et les technologies modernes, malléables – il faut juste protéger la terre… Une ampoule électrique, c’est beaucoup trop. A la bougie ? Même pas ! Sangliers, biches, salamandres. Vipères, aspics, buses. Lions, faucons, plumes. Plaines, plantes, wagons-lits. Forêts, perles.
« Le Yi King était tombé en disgrâce pendant plusieurs centaines d’années et il a reparu. »
Victor Lenoble, physique peut-être entre Nick Cave et Nicolas Cage, sensible à John Cage, petit, fluet, membré comme un nain, léger bégaiement sur les a, rêveur, puissant, penseur, souple, malin, libre, curieux, métaphysique, tête et sexe, les filles, angoisse et disponibilité quant aux filles, musique variée, gothique campagne, Angleterre, Bourgogne, mais de passage...
Jean-Jacques Goldman
Siouxsie and the Banshees
Suicide
Philippe Quesne
Scott Walker
Jean-Louis Costes
Signa Sorensen
« L’amour, c’est le cul »
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« Une bite dans un cul est une flèche dans un cœur et il n’y a pas de plus grand bonheur. »
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La queue magique
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