L’Amour que produit le manque
Quelqu’un (de proche) me dit que, mon blog, c’est un peu un « théâtre invisible ». Là, il marque un point. Auparavant, j’avais avancé le concept de pénibilité de l’amour (si on ne parle pas du travail, on parle souvent d’amour, tous les deux – alors qu’il y a tant d’autres sujets…) On a bien rit avec ce concept. « Il faudrait une carte (de pénibilité) », dit-il. « La retraite », dis-je.
« Je crois à l’inexistence du passé, à la mort du futur et aux possiblités du présent. »
« Je dirais, là, c’est plus qu’un athlète, c’est un artiste… »
« Je fais un régime… à base de… à base de ouiches lorraines
– Mh… Excuse-moi. A base… ?
– A base de ouiches lorraines, c’est des p’tites tartes.
– Non, mais pour qui tu m’prends, je rêve… T’as d’vant toi le spécialiste de la ouiche lorraine. »
« Si tu veux m’parler, envoie-moi un fax… »
Je voudrais une ville noire, une ville sans âme, faites de passages secrets, de communications, de canaux. Cette ville serait recouverte par de la neige.
La peur calmée et je veux, en effet, circuler…
Glisser par des passages détournées, des passages secrets, téléphathiques et virtuels. Virtuels, oui, c’est le mot, imaginaires, oui.
« J’sais pas toi, mais, moi, l’mystère s’épaissit… »
Il n’y a plus d’espace personnel. Je suis en train de faire cette expérience. Que l’on m’oublie un jour ou deux… Mais c’est impossible… J’ai lancé trop d’invitations. Les films doublés (en français) me permettent d’écrire… Ce sont les films de mon enfance. Je dis bien : les films de mon enfance. (Je souligne.)
Le temps gris de « la nuit tous les chats sont gris ». Il y a quelque chose de drôle, de fou à vouloir se rencontrer, à vouloir faire des choses, se mesurer, il y a quelque chose d’étrange. Ce naturel est étrange. Il faut même s’en aller, s’éloigner de Paris (tout en restant à Paris) pour le bien de Paris. Il faut qu’il y ait du secret. Personne ne peut plus sortir à Paris, il y a comme une maladie, une peste, on ne peut pas sortir… On reste chez soi. On communique par les canaux détournés. Les canaux détournés sont ceux de l’amour. Un seul être vous manque et tout est repeuplé.
« Je vais vous raconter une histoire pas banale. »
Peu importe laquelle et peu importe ce que j’écris et si j’écris, l’essentiel est l’inverse – le remplissage, mais de quel vase ? (avec les bonnes lettres…)
Dans le trou des images, dans le n’importe quoi si précis des images…
La culture usée, trouée, liquide…
Je voudrais ne rien faire de quotidien et ressurgir de temps en temps pour faire la fête encore une fois… « L’or et la pluie sur les forêts d’automne, les jardins alanguis, la vague qui se cogne. » Je me souviens d’amour. Oh, oui !
Je me souviens.
Inventer une nouvelle vie à fond. Ce n's'ra pas grave.
Le fond du soupir.
« Je crois à l’inexistence du passé, à la mort du futur et aux possiblités du présent. »
« Je dirais, là, c’est plus qu’un athlète, c’est un artiste… »
« Je fais un régime… à base de… à base de ouiches lorraines
– Mh… Excuse-moi. A base… ?
– A base de ouiches lorraines, c’est des p’tites tartes.
– Non, mais pour qui tu m’prends, je rêve… T’as d’vant toi le spécialiste de la ouiche lorraine. »
« Si tu veux m’parler, envoie-moi un fax… »
Je voudrais une ville noire, une ville sans âme, faites de passages secrets, de communications, de canaux. Cette ville serait recouverte par de la neige.
La peur calmée et je veux, en effet, circuler…
Glisser par des passages détournées, des passages secrets, téléphathiques et virtuels. Virtuels, oui, c’est le mot, imaginaires, oui.
« J’sais pas toi, mais, moi, l’mystère s’épaissit… »
Il n’y a plus d’espace personnel. Je suis en train de faire cette expérience. Que l’on m’oublie un jour ou deux… Mais c’est impossible… J’ai lancé trop d’invitations. Les films doublés (en français) me permettent d’écrire… Ce sont les films de mon enfance. Je dis bien : les films de mon enfance. (Je souligne.)
Le temps gris de « la nuit tous les chats sont gris ». Il y a quelque chose de drôle, de fou à vouloir se rencontrer, à vouloir faire des choses, se mesurer, il y a quelque chose d’étrange. Ce naturel est étrange. Il faut même s’en aller, s’éloigner de Paris (tout en restant à Paris) pour le bien de Paris. Il faut qu’il y ait du secret. Personne ne peut plus sortir à Paris, il y a comme une maladie, une peste, on ne peut pas sortir… On reste chez soi. On communique par les canaux détournés. Les canaux détournés sont ceux de l’amour. Un seul être vous manque et tout est repeuplé.
« Je vais vous raconter une histoire pas banale. »
Peu importe laquelle et peu importe ce que j’écris et si j’écris, l’essentiel est l’inverse – le remplissage, mais de quel vase ? (avec les bonnes lettres…)
Dans le trou des images, dans le n’importe quoi si précis des images…
La culture usée, trouée, liquide…
Je voudrais ne rien faire de quotidien et ressurgir de temps en temps pour faire la fête encore une fois… « L’or et la pluie sur les forêts d’automne, les jardins alanguis, la vague qui se cogne. » Je me souviens d’amour. Oh, oui !
Je me souviens.
Inventer une nouvelle vie à fond. Ce n's'ra pas grave.
Le fond du soupir.
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