Quatre choses terrifiantes pour les Japonais
(Dans l’ordre.) Le séisme, le tonnerre, l’incendie, le père (le patriarche).
Les journées se traînent dans la misère. Rien ne se fait dans la joie. Il faut décider de titres pour des spectacles, des performances payées des misères pour dans un an, dans six mois, dans trois mois même. Il faut imprimer des programmes. Pour faire venir des gens. Et si on leur foutait la paix aux gens ? Y en a marre. De demander aux foules de participer comme ça. Après ce qu’il se passe dans les pays arabes, il y a quelque chose de dérisoire avec ces histoires de publicité, de programmation. Il y a un côté « chevauchée sur le lac de Constance ». On attend la grande catastrophe. On l’attend d’autant plus qu’elle a lieu sous nos yeux. Et que l’on n’y croit pas. Car ça a l’air d’un film.
Les journées se traînent dans la misère. Rien ne se fait dans la joie. Il faut décider de titres pour des spectacles, des performances payées des misères pour dans un an, dans six mois, dans trois mois même. Il faut imprimer des programmes. Pour faire venir des gens. Et si on leur foutait la paix aux gens ? Y en a marre. De demander aux foules de participer comme ça. Après ce qu’il se passe dans les pays arabes, il y a quelque chose de dérisoire avec ces histoires de publicité, de programmation. Il y a un côté « chevauchée sur le lac de Constance ». On attend la grande catastrophe. On l’attend d’autant plus qu’elle a lieu sous nos yeux. Et que l’on n’y croit pas. Car ça a l’air d’un film.
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