Audrey Toutou et Virginia Waouf !
Les histoires de couples sont à la mode. Il y a DSK… l’infinie série américaine dont nous attendons le prochain épisode en formulant des hypothèses… Là, je suis chez Nicolas Moulin et Marie Reinert, à quelques centaines de mètres du loft des enfants. J’ai quitté, ça devenait trop fatigant. Je parle du « problème des couples hétérosexuels », je me reprends, je dis que pour les couples homosexuels, c’est pas mieux. Mais ça amuse beaucoup Marie, cette spécificité, « couples hétérosexuels ». Plus tard, on parle encore, toujours, quoi, plutôt que de s’intéresser aux animaux, on parle de soi, des histoires de couples, de soi, quoi. De soi en miroir. Stanislas Nordey m’appelle à ce moment-là. Mot d’ordre : apaiser la situation. Il se charge du reste. Marie me demande si elle était plus féminine, il y a quelques années, au début de sa relation avec Nicolas. Quand elle dit ça, elle a chaussé mes Ray-Ban. Mais, non, je n’arrive pas à me souvenir qu’elle ait été plus « féminine ». Moi, je la trouve très féminine, de toute façon. L’histoire de Nicolas Moulin remonte à loin. Il faudrait se reporter au spectacle intitulé Pour en finir avec Claude Régy où je narrais par le menu l’aventure que nous avions vécue, Nicolas Moulin et moi, comme en vue d’en parler dans le one man show. Disons que je racontais tout. Nicolas n’aime pas les femmes trop féminines. Ils les aiment assez « louloutes ». Marie se défend d’être une louloute. « Moi, je n’suis pas une louloute, c’est ça l’problème. » Alors je lui demande : « Tu as l’impression de faire un effort ? » Et la réponse est merveilleuse (mais il faut se reporter à ce spectacle pour comprendre) : « Tu m’étonnes... Avec cette chienne ! »
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