« FEU FOLLET
Car enfin ce qui compte c’est avoir quelqu’un dans son lit
Froid ou chaud
Une branche La solitude que tu trompes
Et trempes dans des trous quelconques
Le jeu qui remplit tes jours de mots plus dorés que l’amour
Et l’haleine qui te fait peur au point
De créer l’atmosphère qui rendrait l’homme plus enviable
Et le désir plus désirable
Tes photos de chambre d’hôtel, de désordre et de baignoires
Où dans la glace un bras se lève
Ce décor que tu as lu
Dans de vieilles correspondances
Est ton épave sur la mer
Jamais tu ne touches le sol,
Comme si ton pied était l’aiguilleur, la boussole
De la mort
Le moindre saut est un crime
A la lumière des livres.
Emmanuelle Desmonts-Roudgé »
Car enfin ce qui compte c’est avoir quelqu’un dans son lit
Froid ou chaud
Une branche La solitude que tu trompes
Et trempes dans des trous quelconques
Le jeu qui remplit tes jours de mots plus dorés que l’amour
Et l’haleine qui te fait peur au point
De créer l’atmosphère qui rendrait l’homme plus enviable
Et le désir plus désirable
Tes photos de chambre d’hôtel, de désordre et de baignoires
Où dans la glace un bras se lève
Ce décor que tu as lu
Dans de vieilles correspondances
Est ton épave sur la mer
Jamais tu ne touches le sol,
Comme si ton pied était l’aiguilleur, la boussole
De la mort
Le moindre saut est un crime
A la lumière des livres.
Emmanuelle Desmonts-Roudgé »
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1 Comments:
je like, tu sais qu'elle l'a écrit pour moi ?
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