Probablement...
Probablement « pour Pierre » encore,
En attendant « l’autre », l’animal qui viendrait sur tout le corps
Se poser, l’autre oiseau dont on n’entend que le nom chanté pourtant avec insistance, cette insistance (vous savez)
De soleil, but atteint, la nuée blanche et bleue et trouée jusqu’à ne rien faire
Et inventer – pour l’usine – l’alibi du soir facilement inventé (jusqu’à l’apéro – on ne vous dira rien) – le dieu du virage – bleu – de l’heure bleue –
Se tait, se terre comme l’aurore – l’au-rore, la vie pleine d’eau comme un sillon
Un miroir vibrant
En attendant « l’autre », l’animal qui viendrait sur tout le corps
Se poser, l’autre oiseau dont on n’entend que le nom chanté pourtant avec insistance, cette insistance (vous savez)
De soleil, but atteint, la nuée blanche et bleue et trouée jusqu’à ne rien faire
Et inventer – pour l’usine – l’alibi du soir facilement inventé (jusqu’à l’apéro – on ne vous dira rien) – le dieu du virage – bleu – de l’heure bleue –
Se tait, se terre comme l’aurore – l’au-rore, la vie pleine d’eau comme un sillon
Un miroir vibrant
Labels: pontempeyrat poésie
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