Friday, October 21, 2011

Au fin fond de tes yeux bleus




Du temps, du temps pour – respiration – retrouver ce que je ne savais pas que je cherchais (j’ai laissé le théâtre ou le musical ce soir passer – je n’ai que le concert)






Ah, oui, je me souviens… J’ai retrouvé ces deux lignes sans savoir quelle fiction elles mettaient en œuvre, incapable de les continuer… Le concert est de klaxon, je me souviens, il y avait refermement, hier, inévitable, pas sorti, pas rentré, pas sorti, pas couché, pas sorti trop rapide tout trop tôt tout alors que si lent si plaintif comme lent, mais qu’y puis-je, qui puis-je encore, encore content de mon sort, content, content… Le sommeil, la solution, le livre de poème pour ressembler – à défaut de Pierre – rassembler les respirations, les fantômes, les à-venir, quelle silhouette ? Femme ou garçon, oui, si la silhouette est celle d’une femme, contentement, désir d’avenir… Tous ces oreillers (achetés en solde) me plaisent par leur surnombre que je rejette après la lecture hors du lit hors de la couche hors du trou, j’ajuste, j’ajuste les mots…

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