Des phrases de Rimbaud très belles que je trouve dans les brouillons d’Une saison… On dirait des inédits… On dirait qu’il est là, à côté. On entend le bruit de ses pieds, dans la chambre…
« Le soleil descendait vers la merde, au centre de la terre. »
« L'araignée romantique faisait l'ombre romantique envahie par l'aube opale. »
« Après ces nobles minutes, stupidité complète. »
« sur une emb(arca)tion à épouvantes »
« J'aimais la mer (...) I’anneau magique dans l'eau lumineuse éclairée comme si elle dut me laver (de ces aberra(tions)) d'une souillure. »
« Quel cloître possible pour ce beau dégoût ? »
« Le soleil descendait vers la merde, au centre de la terre. »
« L'araignée romantique faisait l'ombre romantique envahie par l'aube opale. »
« Après ces nobles minutes, stupidité complète. »
« sur une emb(arca)tion à épouvantes »
« J'aimais la mer (...) I’anneau magique dans l'eau lumineuse éclairée comme si elle dut me laver (de ces aberra(tions)) d'une souillure. »
« Quel cloître possible pour ce beau dégoût ? »
Labels: bastille
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