Robustes et légers
Arnaud Guy
Toi... me voilà rentré, avec le sens de ma journée – et peut-être des suivantes – qui a changé, en sortant de cet écrin blanc/noir/argent/orange habité par ces personnages tendrement magiques. Le travail sur la lumière est somptueux. Après avoir vu je ne sais combien de spectacles dans cette salle, tu me l'as encore faite découvrir sous de nouveaux attraits. Tu nous donnes de la poésie pure. C'est comme ça que je l'ai senti en tout cas. Dans quel monde étais-je pendant 1h30... (pardon 1h15 !) Merci. Bonne route pour les suivantes.
Pour te dire mon envoûtement, quand Dréville, vers la fin, fait glisser le talon au pompon rouge sur le ciment, la mélodie que j'entendais, c'était L'Homme à l'harmonica, du génie Ennio Morricone, dans Il était une fois dans l'Ouest !
T'embrasse
Love ! Très heureux que ça t'ait plu ! C'est toujours mieux...
Ah... Je te sens encore touché sur mon retour critique du TCI, que tu m'as fait remarqué à 2 reprises tout à l'heure. Arrête. Sur la douzaine de pièces que j'ai vu de toi, je peux être moins convaincu par une ou deux quand même... Surtout quand tu sais, et tu le sais, je te l'ai déjà dit, que la dizaine qui m'ont plu, ne m'ont pas seulement plu, mais émerveillé.
Ah, non, non, mais je ne t'en veux pas du tout, je suis juste content de, là, t'avoir attrapé, bébé
Ah, ouais, tu peux le dire... attrapé, c'est juste... par rapport à ce que j'ai vécu cet après-midi... avec un léger survol de mon âme aussi au-dessus de ce garage. Ils étaient si robustes et légers en même temps
Oui, robustes et légers : comme je les aime
Labels: ménagerie correspondance
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