La Petite-fille d’Hélène Bessette
Bonsoir,
Il me
semble que jusqu'ici je n'ai pas pris le temps de vous remercier, d'une part
pour les places, mais également pour le travail que vous avez effectué. Je suis
vraiment ravie que vos pas aient croisé ceux de ma grand-mère.
Au
plaisir d'être de nouveau touchée par votre énergie,
Myriam
Brabant
C’est
moi qui vous remercie !
Je suis
maintenant en vacances et – sans doute sous l’influence d’un livre qu’on m’a
donné hier et que je lis, ici, en Savoie, Dialogues avec l’Ange – je sens que la parole de
votre grand-mère – qui est pour moi la plus haute littérature, Rimbaud,
Shakespeare… – a la force de celle d’un ange. Evangile. Cela dépasse la
littérature. Enfin… ça n’en est que parce que ça la dépasse. (En fait, c’est
pareil.) C’est ce dont rendait compte admirablement Valérie Dréville. J’ai
pensé à Valérie dès que j’ai commencé à découvrir Hélène Bessette (avec la
publication du Bonheur de la nuit, il y a des années).
« Comment
est-il possible d’accueillir la souffrance et d’être en même temps
joyeuse ?
Avec
un sourire :
– C’est
possible parce que tu es sur le bon chemin. »
Je vous
ai rajouté à mon carnet d’adresses, vous aurez ainsi de mes nouvelles (mais
rien de prévu pour l’instant à part un stage que je donne en septembre).
Donnez-m’en aussi des vôtres !
Au
plaisir
Yves-Noël
Genod
Labels: rond-point correspondance
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