Vilains bonshommes !
Julie Menut, c’est qqch. Elle fait la frite, vous savez, de la Végétaline. « C’est jour de frites, c’est jour de fête ! » En fait, elle est extra. Tellement extra que je lui ai proposé ça : faire un playback (elle y excelle) complètement à poil, mais en se cachant (le pubis et les seins), ce qui donne ça, le côté frite-Végétaline.
Puis Clément la rejoint. Il
est immense, il est beau, il est poilu, c’est la nouvelle coqueluche de toutes
les filles. Elles en veulent, du Clément ! Mais Clément saisit Julie Menut
et la fait voler. Il la fait sauter dans ses bras aussi, en fait, il lui fait
toutes sortes de trucs et Julie hurle, elle a très peur, elle est très excitée,
mais elle ne se démonte pas, c’est quand même elle la vedette. D’ailleurs,
c’est une constante chez les femmes : elles savent qu’elles sont quand
même les vedettes. Elles jouent le jeu de Bébé ou de Clément, mais elles savent
qu’elles sont quand même les vedettes. C’est elles qui ramènent l’argent. On
n’est pas duchesse à cent mètres de son carrosse, c’est tout. Il faut des
accessoires. Elles savent y faire avec les hommes, elles te les embobinent,
elles te les font bander. Elles savent leur faire passer un bon moment (dans
les caravanes ou dans la forêt), mais elles savent que c’est-elles-qui-ra-mè-nent-l’ar-gent.
Labels: stage
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