Sunday, November 18, 2012

Fast food, living nostalgia



Heureux – pourquoi ne pas le dire ? – heureux comme libéré, heureux comme jouissance, comme soulagement – pas comme rencontre encore, pas comme rencontre... – ou au passé, au passé, wallow in nostalgia – oh, la rencontre, certes au passé, certes au passé.
Fragments d’étés, fragments de livres, de chaleur éternelle – de livres brûlés, mais de joie. De livres brûlés de joie. La chaleur éternelle, la chaleur capitale.
« Il n’y avait rien à faire, ici, les livres fondaient dans les mains. Et les histoires tombaient en pièces sous les coups sombres et silencieux des frelons à l’affût. Oui, la chaleur lacérait le cœur. »

Oui, mes oreilles sourdes écoutent la musique sans cœur. Sans cours de musique.
Oh, cette vie ! Violente… Ta voix virile. Toujours ta voix. C’est toujours ta voix. Toujours. Ton épaule de voix violente. « La tristesse de la chaleur, l’angoisse du soleil. » Un livre, ça ne se fait jamais seul. Avec la voix, la voix qui parle avec la même sève violente. Sa nature de femme. Scénario au long cours, partons donc du soleil… Fragilité de la terre-vie. Nuit, je t’adore, c’est ça, le sens, nuit, je t’adore… As far as nightmares went, this one was a lulu.



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