Monday, November 19, 2012

Le Mot vaut la chose



Encore un séjour fan-tas-tique à Berlin ! On m’a demandé pourquoi j’aime Berlin, pas su répondre. Si on me demandait pourquoi j’aime Paris, je répondrais quoi ? Ou Londres ou Mexico. Ou New York. Une fois, pour la télé, on m’a demandé pourquoi j’aimais Jeanne Balibar. Pas su répondre. Jeanne Balibar, c’est Jeanne Balibar.
C’est curieux j’adore les biographies, mais je n’aime pas tellement l’autofiction. C’est peut-être que le hasard intervient plus dans une biographie et n’importe nawak – alors que, dans l’autofiction, il y a ce narrateur omniscient qui nous parle du malheur des choses ou qui, simplement, a une idée sur la chose, c’est ça le malheur ! L’autofiction-qui-ne-parle-que-du-bonheur, comme on rêverait que tous les livres soient, est extrêmement rare. A titre personnel, Pierre Courcelle, Juliette Drouet, Marguerite Duras un peu dans La Douleur. Le bonheur est évidemment plus présent dans la poésie, c’est le seul thème, ou dans le théâtre, celui que je fais, en tout cas, le sait. 

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