Les Maladies incorporelles
Tout ce monde qui va
disparaître et dont je n’ai plus besoin.
L’hiver…
Rien n’est du tout
est fragile.
« Tant que je fais du
sport à côté »
Un climat de parano partout
dans les rues me semble juste.
Rien ne se voit et tout se
voit : ça se voit que ça ne se voit pas.
En des journées d’hiver
intense, recomposer la vie.
Ma faiblesse insigne.
Les foules immenses,
irrégulières.
Quelques chats soyeux.
Labels: poésie
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