Oui, c’est un
grand malheur que la solitude, mais, déjà, à l’heure où je la quitte, j’en ai
la nostalgie. Oui, elle est insupportable, mais elle m’est insupportable. C’était moi qui
souffrais. C’était moi qui m’intéressais… Faut-il encore se donner au monde
(qui demande le beurre et l’argent du beurre...) ? De la musique toute la
journée, du désespoir toute la journée, de la solitude absurde, affreuse, mais
de la solitude, oh, mon Dieu, oui, toute la journée ! Le retirement,
l’ascèse…
Le but de
cendre le but de son : jouer. Jouer met ensemble les décisions.
La mémoire du
grand secret toujours effacée.
Labels: château
0 Comments:
Post a Comment
<< Home