Sunday, December 09, 2012

L'Ordinaire ordinateur


Je vais me perdre. Il n’y aura rien. Il n’y aura pas d’enjeu, pas de phrases. Pas de travail. Encore une série sublime de Marie Taillefer. 
La concentration me baigner.
Dans le train, sous l'orage noir sans pluie

Oui, il y a ce calme de la belle nuit. Tu souris ? Tu te cognes, tu butes aux parois de ton cœur-cerveau, tu te retiens de respirer pour entrer
dans l’expérience
du cœur

C’est-à-dire, c’est comme si je ne pouvais pas dire la beauté de m’aimer... — et comme bon me semble, éventuellement dans la fatigue. Ils vont naviguer maintenant, ils vont dormir — et plus personne ne dira rien — des clichés, des éternelles radios...

Ne pas se demander toujours pourquoi qui connaître.
C'est-à-dire, cette concentration qui fait que tu n'es même plus au monde...

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