Saturday, December 29, 2012


« Hervé Guibert : Dans les premiers livres, il y avait une fiction. Dans Le gardien de but, il y avait des personnages ; il y a la caissière, il y a le crime.
Peter Handke : Ça, c’est vrai, maintenant, il n’y a plus rien. Seulement des récits, quand même des récits.
H.G. : Il y a toi.
P.H. : Même pas moi.
H.G. : Il n’y a que toi à la puissance mille.
P.H. : Il y a l’oreille et il y a le désir, et il y a une certaine envie d’être le chroniqueur de ce vide. »

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