Dernière d'Electre à 21h, 78, rue du Charolais...
Encore une très jolie et très gentille phrase de Marie Plantin à mon propos dans cette critique dithyrambique du travail de Renaud Boutin :
« Quant à Yves-Noël Genod, il façonne des espaces / temps performatifs, mouvants et infiniment vivants, ouverts à tous les possibles. »
Sinon Renaud Boutin lui-même m’écrit (c’est aussi très gentil, je ne voulais pas le mettre là parce que Jean-Pierre Thibaudat est un dieu, alors, ça fait genre... Enfin, ça n’a rien à voir, quoi...) :
« Bonjour,
Je suis un fidèle lecteur du Dispariteur, que j'estime avec les papiers de Thibaudat un des rares lieux de critique théâtral résistant et moderne : merci.
Je vous écris sur les conseils de Guillaume Barbot pour vous inviter à découvrir le travail du collectif au sein duquel je travaille : Le Foyer. Nous avons actuellement une carte blanche au théâtre de l'Opprimé et jouons dimanche 13 en clôture une intégrale des quatre spectacles présentés cette semaine. La semaine prochaine nous nous attaquerons à une création quasi improvisée créée pour l'occasion.
J'ai personnellement mis en scène Electre, d'Euripide — nous jouons donc la dernière dimanche à 21h. Partant d'une traduction sur mesure de Florence Dupont, nous avons essayé de retrouver la radicale étrangeté de la performance... Son aspect dérangeant et musical. Kantor, Müller, Marin nous ont guidés dans cette réécriture.
Je serais très heureux de vous faire découvrir ce travail.
Bien cordialement,
Renaud Boutin »
Labels: paris correspondance
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