Autre nom pour tout ce qui est regroupé sous le nom de « château » : Castel dell’Ovo, château de l’Œuf.
C’est les oiseaux, je ne sais pas lesquels, que l’on entend. Ici. Et qui signent le printemps — et l’été — et le pays différent qui fait que, d’une maison, on entend les oiseaux.
Je le lis rarement, mais je l’ai acheté pour l’avion, dans « Les Inrocks », il y a plein de bonnes choses, Houellebecq, Christophe, Peter Stein et surtout un texte sous pseudo très éclairant (et terrifiant) sur le savoir et la sidération des politiques quant à « Cahuzac ». (C’est l’aveu qui les a surpris.)
Adélaïde donne une pièce à un emmerdeur comme il y en a tant sur cette terrasse de café, mais celui-ci nous a dit (ce que je n’avais pas compris) : « Je ne suis pas un chômeur italien, je suis un vrai pauvre, je viens d’Inde. »
Le beau, pour moi, means près de la mer. Dès que le soleil est là, surtout au printemps, surtout au Mexique (l’hiver), je cherche des yeux le rivage, j’imagine que l’on va se baigner. Le soleil, c’est toujours les belles journées d’été en Bretagne. Ces journées sont très rares, en fait, mais ce sont elles qui se sont gravées sur mon disque dur au point que, toute ma vie, toute ma vie, le soleil d’hiver au Mexique ou de printemps en Italie ou de dimanche dernier à la terrasse du Georges au sommet de Beaubourg, je cherche la mer, je hume la mer et je m’étonne de sa disparition.
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