Fée verte
Je n’ai pas dormi, je me regarde dans la glace du café... et je me trouve beau et dévasté (j’ai révisé mon Duras pour les nuls). La journée commence, une journée bruyante et... (nulle ? claire ? pâle ? ouverte ?) — à la Fée verte. Je pensais aussi, dans la glace, à Théo Mercier qui, l’autre soir, avait une sale tête et qui racontait d’ailleurs la même histoire (de la glace du café). Théo... sa tête était un peu abîmée, mais son corps était intact. Je le caressais entre mes doigts, petite crevette, petit animal, belette ou furet, adorable et liquide. Que le diable le garde ! « Furet », je n’ai pas de mérite, je viens de le trouver, je l’avais sous les yeux : « François Furet, Les Chemins de la mélancolie ». Je lis aussi : « Le siècle de Tom Wolfe ». Et puis je passerai à Houellebecq (« chante l’amour »).
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