Monday, June 24, 2013

Verbos reflexivos



Le prof dit des choses dégueulasses parce qu’il dit qu’on doit connaître ce vocabulaire.

Par ex : « Me quedo en casa durante el fin de semana para rascarme los cojones ».

Mais il dit aussi cette belle phrase de Blaise Pascal : « El corazón tiene razones que la razón desconoce ». C'est quand même très beau cette rime entre cœur et raison...

— Bonne nuit, mes amis ! mes faux amants ! Je n'ai plus le temps de vous voir et je commence à regarder les femmes... —

Il dit aussi : « Me quito la chaqueta en Quito ». Et il précise, parce qu'on y comprend rien : « Quito, capitale de l'Equateur ».

Il dit encore : « La puta madre que me parió ». 

Il demande d'écrire 2 ou 3 phrases avec des verbes réflexifs pour le lendemain. 
Est-ce que celles-ci fonctionnent ?  
« Me quedo delante del tele cuando estoy cansado » ; « Los gatos se lavan mucho pero los perros no se lavan » ; « Me equivoco a menudo entre el español y el italiano ».

« Lo siento », c'est : « Je suis désolé » et « hacer las paces », « faire la paix » (au pluriel). Je parle de Zahia que j'ai rencontrée dans un dîner et je mime sa cambrure. Il dit : « ¿ Quién camina así ? » Puis : « Es una mujer de negocios ».

« Gilipollas », c'est un couillon ou un connard. Et on peut dire « ¡ Coño ! » quand quelqu'un a gagné à la loterie ou qu'il est arrivé une merde, c'est positif et négatif. Il nous apprend aussi « la poya » (la bite) et c'est vrai que je comprends pourquoi tous ces mots sont choquants, c'est parce que nous sommes retournées à l'école où ces mots n'étaient pas pour les enfants. Romain que je croise 2 fois dans la soirée, d'abord bd des Italiens pour le film d'Emilie Lamoine et ensuite rue Monge à minuit (il va chez Marie aux Gobelins) me dit qu'au Mexique ils n'emploient pas « la poya » (mais il ne me dit pas ce qu'ils emploient).

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