Merveilleuse Romance sans paroles de Gabriel Fauré...
Cher Olivier Py,
Nous nous connaissons depuis
toujours, mais, par orgueil sans doute (que je déplore), je ne vous aborde
jamais. J’étais au Radeau et vous y passiez souvent, j’étais votre voisin
quelques années à l’île d’Ouessant, vous avez vu un de mes spectacles (à l’invitation
de Jeanne Balibar). De vous, j’ai vu Miss Knife (que j’aime beaucoup, bien sûr !) un opéra ou
deux et je lis vos Mille et une définitions du théâtre. Comme tout le monde, je cherche à travailler.
J’avais quelques idées à vous proposer pour Avignon…
Labels: correspondance
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