« P aris Match »
L’amie avait fait des photos
merveilleuses de 2 personnages qui ont besoin de
l’image pour exister — et pourquoi pas ?, m’étais-je dit en dînant presque
en face avec celui qui a toujours la chemise blanche ouverte à-la-télé-comme-dans-la-vie : je comprenais. Elle me les avait montrées sur son iPhone.
Les photos devaient sceller la réconciliation fracassante de celle et de celui
qui ont besoin de l’image et qui n'avaient bien sûr jamais cessé de s'aimer. Elles n’étaient pas sorties tout de suite parce
qu’il y avait eu un pataquès. Les dessous de l’affaire. Qqch que je n’ai pas le
droit de raconter. En tout cas d’impossible à écrire ici. Si vous voulez que je
vous le raconte, appelez-moi au 06 84 60 94 58. Je ne peux jamais m’empêcher de
raconter ce que tout le monde sait. Enfin, pas tout le monde, pas le
« grand public » (comme dit Manuel Valls), on lui cache. Mais entre
vous et nous… Je vous dirai de ne pas le répéter, c’est tout. Je vous ferai
jurer sur votre tombe. Enfin, bref, il y avait un « dessous de l’affaire »,
évidemment. Dont « Le Petit Journal » avait dû avoir vent parce qu’il
s’était moqué de ces photos (« Le Petit journal » du 30/10/13, à 12mn10s).
C’était de bonne guerre. Les photos sublimissimes. Le nom de l’amie n’avait (heureusement)
pas été cité. Seul les noms de ceux qui ont besoin de l’image pour exister
(cher). Les photos sont encore visibles dans « Paris Match » en kiosque avec un
très joli texte de Frédéric Mitterrand que je vous laisse découvrir.
Labels: paris
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