T he insolence of office
Cher Jean-Marc, Sébastien
Roux qui s’occupe d’un lieu formidable, ds le Forez, où j’ai donné pendant
trois années un stage fameux a, depuis assez récemment, beaucoup de difficultés avec l’Afdas dont il dépend, qui fait obstruction, qui demande désormais, par
ex, des plannings détaillés jusqu’à la stupidité, ce qui rend la poursuite
d’ambitions un peu sérieuses presque impossible (en tout cas, ds l’idée de
travailler avec la très bien lotie Afdas). Pour ma part, je défends, comme ds
mes spectacles, un enseignement intuitif (comme, par ex, je l’ai fait au dernier stage que j’ai donné, en octobre, au Studio-Théâtre de Vitry où j’ai pris (il y avait 200 demandes) un groupe de
70 plutôt qu’un groupe de 10, pour expérimenter ensemble une chose excitante
car inconnue). Mais tu connais
tout ça très bien (et tu te souviens sans doute aussi d'avoir publié un premier
texte écrit pour cette Afdas qui, à l’époque déjà, il y a 4 ans — mais ce n’était
qu’un signe avant-coureur —, avait tiqué sur le titre « Jouer Dieu »).
Je te signale ce problème car peut-être t’en a-t-on déjà rapporté d’autres du
même genre, ce qui signifierait qu’il faudrait peut-être alors donner de la
voix (afin de ne pas laisser la bêtise s’installer sans vergogne et en toute impunité). Tu en donnes
très souvent (de la voix), et nous tenons à toi ! Ainsi, n’oublie jamais de
prendre soin de toi, cher Jean-Marc,
Yves-Noël
Labels: correspondance
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