Par les baies vitrées, on voyait
la mer, les plages de tous côtés, de l’appartement haut perché. On pouvait
écrire aussi. Il suffisait d’ouvrir n’importe quel dictionnaire (parmi les
meilleurs), de recopier les exemples (par ex, le mot « baie »). C’était la nuit et déjà des
foules en grappes avaient installé leurs parasols, arrivaient et se posaient ;
je me disais : pour profiter des meilleures heures (et partir au plus
chaud ?) Mais la journée se passait et lorsque nous étions, nous, prêts à
sortir, c’était déjà et encore la nuit, la même lumière d’été de la nuit encore
et déjà…
Les Enfants du capitaine
Grant
« La côte n'offrait aucun
abri. Nulle baie, nulle anse, nul port. Pas même une crique. »
La Nouvelle espérance
« L'amour qu'il
[Pierre] éprouvait pour Sabine était ses vacances. Il avait eu dans son passé
beaucoup de tempêtes, et maintenant il entrait dans la baie d'un plaisir qui
durait, se renouvelait et ne le blessait pas. »
Labels: poésie
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