R êver et rire, sans céder un pouce aux oiseaux du malheur
Olivier
Charasson
Et si vous
n'avez pas le temps, foncez voir ce spectacle, il va vous le donner !
Catherine
Jabot
Cher Yves-Noël,
Je suis venue le 1er
et en lisant ton mail je réalise que je ne t'avais pas écrit après, ma pensée a
été plus rapide que mon geste... ou l'inverse, bref ! Ce soir là, il y avait
tant de monde que je n'ai pas cherché à te le dire de vive voix.
Merci infiniment pour ce
beau spectacle « O temps ! Suspends ton vol »… Bravo ! Mon
ami Pierre et moi sommes restés sous le charme, abasourdis par tant de grâce et
de beauté... Bon, laissons là les superlatifs ! Un grand merci à toi, à vous,
Je t'embrasse,
Catherine
Vincent Dieutre
(en accompagnement d’une
photo de Marc Domage — celle de mon père)
Une des
« visions » du dernier spectacle d'Yves-Noël Genod aux Bouffes du
Nord. A ne rater sous aucun prétexte (il est au sommet de son Art). Effets
hallucinogènes garantis et re-incendie aux Théâtre des Bouffes du Nord qui
brûle depuis le début.
Adélaïde
Paul-Dubois-Taine
Bonjour Yves-Noël,
Je pars à Bologne demain
[…]
Comme c’est beau aussi de
partager les échos suscités par 1er Avril ! Moi j’ai eu des sensations de Pompéi dans les
rouges du théâtre des Bouffes du Nord (mis à nu par ses célibataires mêmes… ).
Je voyais les rouges de la Villa dei Misteri, et aussi des mystères pasoliniens
in mezzo al inferno della dolce vita. Ce qui me donne la sensation de
m'approcher en partant !
Ciao e bacio
Antony Veron
12 € pour l'infini... Foncez, plus que 5 représentations !
Denise Luccioni
J'ai vu une œuvre étonnante
aux Bouffes du Nord, et c'est jusqu'au 12 avril. Elle s'appelle 1er Avril, de Yves-Noël Genod.
Elle semble sourdre des
murs, de la lumière et de la bande son et y baigner, et nous immerger. Les
larmes aux yeux de la beauté des voix qui chantent, posées, souriantes et
généreuses. Grandiose et simple et drôle, un brouhaha d'images presque sans
parole. L'ombre de Cioran qui danse. Comme un exorcisme. Rêver et rire, sans
céder un pouce aux oiseaux du malheur.
Labels: bouffes, correspondance
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